Stéphanie Prisco

Comment décrirais-tu ton métier ?

Un métier passion assurément ! Je fais découvrir aux collectionneurs d’oeuvres d’art des talents (en fonction de leurs goûts) et en cela, je permets aux talents de continuer à l’exprimer 😉
Énorme privilège que de travailler dans ce domaine. Il paraît que l’Art fait du bien ! Je confirme.

Comment tes parents imaginent ton métier ?

Je n’ai plus mes parents mais je pense qu’ils seraient fiers de moi, de ma persévérance.

Sur quoi travailles-tu en ce moment ?

L’art en entreprise avec la volonté de promouvoir l’idée d’engagement sociétal pour la culture. Et toujours, le centre de mon activité de Personal Art Shopper pour les collectionneurs privés. Avec toujours la notion de « collection » très présente et le message suivant : investir dans l’art a du sens !!!

Qu’es-tu venu(e) chercher aux Sats ? Qu’y as-tu trouvé ?

Un cocon pour entrepreneur. Il y a un peu de tout : de l’échange, de la motivation, des « moments », du challenge, du soutien, toujours un sourire, de la curiosité, de l’intérêt, des rires, … Même pour quelqu’un qui ne vient pas souvent.

Quelle est ta relation avec Nice ?

Une ville d’adoption (même si je reste un peu parisienne dans l’âme, et pour amuser la galerie aussi ;-)). Une histoire de famille aussi, ma grand-mère maternelle y est née, mon arrière-grand père paternel y a fini sa vie, mes enfants y sont nés, je m’y suis mariée. Enfin, une ville où j’ai sans doute toujours voulu travailler. Quand petite élève de prépa, j’ai rencontré les élèves de l’Edhec à Nice, j’ai dit à mon père, c’est là que je veux aller 😉 Enfin, pour quelqu’un qui travaille avec les artistes, sa lumière, ses couleurs, son histoire et les nouvelles générations d’artistes qui se démènent, sont des éléments plutôt motivants. Je croise fort les doigts pour qu’elle soit Capitale européenne de la culture en 2028 et aussi pour pouvoir participer d’une manière ou d’une autre à ce projet.