Stéphane

Coaching, Communication, Formation

Stéphane Robinson

Consultant stratégies de marque et de contenu, consultant bilan de compétences

Comment décrirais-tu ton métier ?

En bon slasheur assumé : anti-routinier !

Plus sérieusement, mon cœur de métier est la communication écrite, les stratégies de contenu, du plus amont (conseil) au plus aval (production).

J’ai longtemps cumulé les casquettes de journaliste et de concepteur-rédacteur.

En 2015, j’ai été tenté par l’aventure de l’édition de presse, en créant le magazine Ressources sur les thématiques du développement durable, diffusé en kiosques et sur abonnement. Du journalisme indépendant et engagé qui aura réussi à tenir huit numéros.

Depuis ces dernières années, je travaille aussi beaucoup en branding sur les territoires de marque. Les plateformes de marque restent un exercice important pour les entreprises qui se lancent comme pour celles qui ont déjà des heures de vol. Une plateforme de marque est un outil de management autant que de communication.

Enfin, j’interviens de plus en plus comme consultant bilan de compétences. J’ai toujours eu des missions en tant que formateur car la transmission dans le face-à-face me passionne autant que les mots. L’humain !

Comment tes parents imaginent ton métier ?

Mes missions de journaliste mises à part, pas certain que ma mère comprenne toujours ce que je fais. Ce qu’elle a bien compris : son fils a hérité de sa passion des belles lettres et de son amour du verbe. Il me semble qu’elle assez fière de cela. Mon père qui n’est plus de ce monde était aussi un homme de plume…

Sur quoi travailles-tu en ce moment ?

En communication, je gère en véritable agence toute la communication externe de la Chambre d’agriculture des Alpes-Maritimes : magazines print, site internet, réseaux sociaux, campagnes sms, PLV… Autre dossier important : celui de la startup Epicnpoc, basée à Sophia Antipolis et positionnée sur le prototypage de POC (Proof Of Concept). Une mission plateforme de marque suivie d’une étude sur leurs cibles et leur marché. Le challenge : ce fameux gouffre de l’innovation à franchir une fois que l’on a embarqué ses early adopters. La quête d’une traction naturelle du marché. Enfin, j’accompagne en ce moment deux personnes en bilan de compétences : une infirmière coordinatrice et un développeur commercial. Mon métier est aussi anti-routinier parce que dans une permanente logique d’acculturation.

Qu’es-tu venu chercher aux Sats ? Qu’as-tu trouvé aux Sats ?

Alors que mon bureau est chez moi, je suis initialement venu chercher un espace à la fois pro et privatif pour accueillir mes bénéficiaires de bilan de compétences. J’ai passé du temps à comparer l’existant sur Nice. J’ai trouvé avec les Sats tout un ensemble d’avantages incomparables à mes yeux : l’ambiance, la chaleur, la liberté, la simplicité, la sincérité. Je n’ai pas encore trouvé le temps de m’impliquer plus avant dans la famille des Sats. Mais ce n’est qu’une question de temps… Les valeurs et le mood Sats sont parfaits pour moi !

Quelle est ta relation avec Nice ?

Arrivé en 1996, après avoir appris mon/mes métier(s) à Paris, j’ai appris à aimer Nice progressivement. Aujourd’hui, je considère que c’est vraiment ma ville, une ville magnifique, si belle, et donc aussi avec ses contradictions et son côté obscur. Mais bon, n’est-ce pas là la définition de l’amour ?

Interview publiée le 29 mars 2023