Naji

Innovation, UX

Naji Bouchiba

Consultant en innovation par l'usage

Comment décrirais-tu ton métier ? Quel fut on premier client ?

Mon métier est une opportunité de pouvoir comprendre les gens et les outils qu’ils utilisent, améliorer et adapter ces outils qu’ils soient digitaux ou autres. Mon métier est une opportunité d’impacter de manière positive, responsable, durable et éthique le monde qui m’entoure.
Mon premier client a été une société niçoise qui s’appelle CMII et que j’ai accompagné sur un sujet d’amélioration l’ergonomie et l’UX de leurs solutions digitales.

Qu'est-ce qui te fait progresser et t'inspire dans la vie ?

Ce qui me fait progresser c’est les autres, ceux avec qui je travaille, avec lesquels j’ai co-créé des sociétés mais aussi les personnes que j’observe pour lesquels j’améliore les outils qu’ils utilisent notamment dans le domaine de la santé ou du handicap.

Sur quoi travailles-tu en ce moment ?

En ce moment je travaille sur plusieurs projets en même temps :
1) je travaille sur mes cours d’ergonomie des jeux vidéo,
2) sur une mission autour du handicap et de la santé et notamment sur l’amélioration d’une application dédiée aux personnes atteintes de maladie neuromusculaire
3) Sur la plateforme de e-learning et l’App de mobile learning de ma société Sewelo
4) Sur les sociétés africaines incubées dans notre ONG dédiée à la santé XHUMANISA

Que venais-tu chercher aux Sats ? Qu’as-tu trouvé ?

Je suis venu chercher un lieu dans lequel je pouvais sortir de mon travail esseulé et clairement rencontrer d’autres personnes et j’ai clairement trouvé une famille, des potes, une ambiance de folie et des profils très différents 🙂

Quelle est ta relation avec Nice ?

Je suis née à Nice donc c’est ma ville de naissance, je la connais que trop bien ! Je n’aime pas cette ville je suis déjà allé vivre ailleurs. Je reste dans cette ville car ma famille est ici et que je souhaite que mes enfants voient leurs grands-parents. Malgré le beau temps, l’environnement et le reste j’ai très souvent envie de quitter cette ville mais bon je suis encore là 🙂

Interview publiée le 16 novembre 2020