Baptiste Marty
Chef de projet informatique pour l’Association SEVE
Comment décrirais-tu ton métier ?
À cheval entre le développement opérationnel et la conception de solutions adaptées aux différents métiers de mon association, j’ai plusieurs casquettes au sein de SEVE. C’est ce que j’aime beaucoup dans ce que je fais actuellement, il y a tous les jours des nouveaux défis techniques, relationnels ou stratégiques sur lesquels je peux intervenir et apporter ma compétence d’ingénieur. Et ça passe du paramétrage d’une réunion Zoom à l’architecture complète d’une transformation de système informatique. Intervenir pour une petite structure permet aussi de mettre l’humain au centre des préoccupations dans la conception des solutions informatiques, et je peux concrètement toucher du doigt les petites améliorations que je peux mettre en place, et c’est ce qui fait le plus sens pour moi.
Comment tes parents imaginent ton métier ?
Sûrement comme quand je leur rends visite et que je dois réparer l’imprimante ou le WIFI, je pense qu’ils imaginent que je fais plein de petites tâches comme ça qu’ils ne comprennent pas trop.
Sur quoi travailles-tu en ce moment ?
Je travaille actuellement sur un changement d’outil informatique de mon association. Le but est de migrer toutes les données vers un autre système un peu différent, ce qui amène pas mal de problématiques complexes. J’essaie d’optimiser les tâches de mon équipe pour gagner du temps et faire des économies et continuer à animer des ateliers de philosophie pour les enfants partout en France.
Qu’es-tu venu chercher aux Sats ? Qu’y as-tu trouvé ?
Je suis venu aux Sats sans attente particulière au départ, si ce n’est d’avoir un confort de travail plus important que si j’étais resté toute la semaine chez moi. J’ai tout de suite trouvé ça très intéressant d’avoir, en plus d’un cadre de travail plutôt sympa, une vraie communauté et un partage de d’expérience très riche. Surtout en arrivant comme moi dans une ville que je ne connaissais pas, c’est une très bonne façon de découvrir Nice !
Quelle est ta relation avec Nice ?
J’apporte beaucoup d’importance aux racines géographiques, je viens de l’Aveyron, un département plutôt rural et fier de ses valeurs. Je ne connaissais pas vraiment Nice avant cette année et je suis très agréablement surpris par l’histoire très dense de la région, la beauté des paysages et la proximité de l’Italie très appréciable. Je garderai toujours une attache très forte à mon département de naissance mais je pense que Nice a de très bons arguments pour que j’y reste de nombreuses années encore !